I saw about her spotless wrist, Of blackest silk, a curious twist ; Which, circumvolving gently, there Enthrall'd her arm as prisoner. Dark was the jail, but as if light Had met t'engender with the night ; Or so as darkness made a stay To show at once both night and day. One fancy more ! but if there be Such freedom in captivity, I beg to love that ever I May in like chains of darkness lie.
Contrasts in Love
Song Cycle by Michael Purves-Smith (b. 1945)
1. Upon a black twist rounding the arm of the Countess of Carlisle  [sung text not yet checked]
Authorship:
- by Robert Herrick (1591 - 1674), "Upon a black twist rounding the arm of the Countess of Carlisle"
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Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]2. Oh, llama de amor viva  [sung text not yet checked]
¡Oh llama de amor viva que tiernamente hieres de mi alma en el más profundo centro! Pues ya no eres esquiva acaba ya si quieres, ¡rompe la tela de este dulce encuentro! ¡Oh cauterio süave! ¡Oh regalada llaga! ¡Oh mano blanda! ¡Oh toque delicado que a vida eterna sabe y toda deuda paga! Matando, muerte en vida has trocado. ¡Oh lámparas de fuego en cuyos resplandores las profundas cavernas del sentido, que estaba oscuro y ciego, con estraños primores color y luz dan junto a su querido! ¡Cuán manso y amoroso recuerdas en mi seno donde secretamente solo moras, y en tu aspirar sabroso de bien y gloria lleno, cuán delicadamente me enamoras!
Authorship:
- by Saint John of the Cross, né Juan de Yepes Alvarez (1542 - 1591), "Llama de amor viva"
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Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]3. Cancion
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Authorship:
- by Íñigo López de Mendoza y de la Vega, Marquis of Santillana (1398 - 1458)
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4. Sous le pont Mirabeau  [sung text not yet checked]
Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine. Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuite sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure
Authorship:
- by Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary Kostrowicki (1880 - 1918), as Guillaume Apollinaire, "Le pont Mirabeau", written 1912, appears in Alcools, Paris, Éd. du Mercure de France, first published 1912
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Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- CHI Chinese (中文) [singable] (Dr Huaixing Wang) , copyright © 2024, (re)printed on this website with kind permission
- ENG English (Peter Low) , copyright © 2022, (re)printed on this website with kind permission
- HUN Hungarian (Magyar) (Tamás Rédey) , "A Mirabeau híd", copyright © 2015, (re)printed on this website with kind permission
- HUN Hungarian (Magyar) (Tamás Rédey) , "Mirabeau hídja", copyright © 2015, (re)printed on this website with kind permission
- HUN Hungarian (Magyar) (Tamás Rédey) , "Mirabeau híd", copyright © 2015, (re)printed on this website with kind permission
First published in the revue Les Soirées de Paris, no. 1, February 1912, and then in Alcools in 1913.
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5. Jeanne était au pain sec  [sung text not yet checked]
Jeanne était au pain sec dans le cabinet noir, Pour un crime quelconque, et, manquant au devoir, J'allai voir la proscrite en pleine forfaiture, Et lui glissai dans l'ombre un pot de confiture Contraire aux lois. Tous ceux sur qui, dans ma cité, Repose le salut de la société, S'indignèrent, et Jeanne a dit d'une voix douce : - Je ne toucherai plus mon nez avec mon pouce ; Je ne me ferai plus griffer par le minet. Mais on s'est récrié : - Cette enfant vous connaît ; Elle sait à quel point vous êtes faible et lâche. Elle vous voit toujours rire quand on se fâche. Pas de gouvernement possible. À chaque instant L'ordre est troublé par vous ; le pouvoir se détend ; Plus de règle. L'enfant n'a plus rien qui l'arrête. Vous démolissez tout. - Et j'ai baissé la tête, Et j'ai dit : - Je n'ai rien à répondre à cela, J'ai tort. Oui, c'est avec ces indulgences-là Qu'on a toujours conduit les peuples à leur perte. Qu'on me mette au pain sec. - Vous le méritez, certe, On vous y mettra. - Jeanne alors, dans son coin noir, M'a dit tout bas, levant ses yeux si beaux à voir, Pleins de l'autorité des douces créatures : - Eh bien, moi, je t'irai porter des confitures.
Authorship:
- by Victor Hugo (1802 - 1885), "Jeanne était au pain sec", appears in L'Art d'être grand-père, in 6. Grand âge et bas âge mêlés, no. 6
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