by André Alexandre (1860 - 1928)
Chanson norvégienne
Language: French (Français)
Je suis prise d'une tristesse Qui pèsè, pèse lourdement: Il me trahit, il me délaisse, Ce-lui que j'aime tendrement. C'est fête au village et je danse, Pour cacher ma douleur, hélas! Mais il me semble à chaque pas, Entendre crier ma souffrance! Au-dessus des fiords de Norvège, Plus haut que les mâts des vaisseaux, Plus haut que les sentiers de neige Où courent, glissent les traineaux, Ils montent, mes pleurs, mes alarmes, Et la danse n'arrête pas. Mais il me semble, à chaque pas, Tournoyer dans un flot de larmes!
Text Authorship:
- by André Alexandre (1860 - 1928) [author's text not yet checked against a primary source]
Musical settings (art songs, Lieder, mélodies, (etc.), choral pieces, and other vocal works set to this text), listed by composer (not necessarily exhaustive):
- by Félix-Alfred Fourdrain (1880 - 1923), "Chanson norvégienne", c1914, published 1916? [voice and piano], Paris: Ricordi [ sung text checked 1 time]
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]
This text was added to the website: 2014-03-26
Line count: 16
Word count: 90