Je pleure à tout jamais mon bonheur envolé :
Je n’ai plus de paix sur la terre ;
Lorsque j’erre le soir dans le bois desolé
Je me sens triste et solitaire !
Je pleure à tout jamais mon bonheur envolé,
Rien n’a plus d’attrait pour moi …
Tout ce que nous aimions, aujourd’hui je l’abhorre.
Ô cher absent !
Auprès de toi que je voudrais être encore !
Ô cher absent !
Si le ciel a pitié de mon mortel tourment,
Je saurai retrouver les traces,
Ombre invisible à tous, je suivrai doucement
Chaque sentier par où tu passes.
Rien ne parlera de moi…
Mais je m’enivrerai de ta voix que j’adore …
Ô cher absent !
Tout près de toi que je voudrais être encore !
Je pleure à tout jamais mon bonheur envolé !