Si je t'avais connue au printemps de mon âge
. . . . . . . . . .
— The rest of this text is not
currently in the database but will be
added as soon as we obtain it. —
Le livre chantant
by Jules Mazellier (1879 - 1959)
1. Si je t'avais connue
Text Authorship:
- by Pierre Frondaie (1884 - 1948), "Si je t'avais connue au printemps de mon âge", appears in De l'amour à l'amour, Paris, Éd. Émile Paul, first published 1933
Go to the general single-text view
2. Au tombeau de la Duse
Lasse d'avoir vécu, souffert, compris, pleuré
. . . . . . . . . .
— The rest of this text is not
currently in the database but will be
added as soon as we obtain it. —
Text Authorship:
- by Pierre Frondaie (1884 - 1948), "Pour le Tombeau de la Duse", appears in La Petite Illustration, Poèmes, first published 1931
Go to the general single-text view
4. Présence  [sung text not yet checked]
Si quelquefois tu pleures, Cherche-moi près de toi, J’y serai. Mais aux divines heures De ta joie, est-ce moi Qui viendrai ? Oh ! Va, sois rassurée ! Quand la dernière larme Aura lui, Comme une ombre égarée Que le grand jour alarme, J’aurai fui.
Text Authorship:
- by Georges Ville (flourished c1930), "Présence", appears in L'Oiseleur de chimères, chansons et poèmes, in 2. Le voyage accablé, no. 15, Paris, Librairie Véga, first published c1906
See other settings of this text.
Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- ENG English (Garrett Medlock) , copyright © 2020, (re)printed on this website with kind permission
5. L'amour que chante mon poème  [sung text not yet checked]
L'amour que chante mon poème N'est pas un amour de roman ; Il ne ressasse point le thème Banal d'un éternel serment. Non plus il ne sait l'art suprême De peindre un langoureux tourment. L'amour que chante mon poème N'est pas un amour de roman. Mais grave et doux, sûr de soi-même, Épris d'un obscur dévouement, Au bonheur de l'ami que j'aime Toujours veille jalousement L'amour que chante mon poème.
Text Authorship:
- by Louise-Rose Gérard (1866 - 1953), as Rosemond Gérard, no title, written 1889, appears in Les pipeaux, in 3. L'éternelle chanson, no. 4, Paris, Éd. Alphonse Lemerre, first published 1889
See other settings of this text.
Confirmed with Rosemonde Gérard, Les Pipeaux, Paris, Alphonse Lemerre, 1889, pages 105-106.
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]
6. Ce n'est pas la faute à nous deux  [sung text not yet checked]
Ce n'est pas la faute à nous deux Si nous nous aimons de la sorte : Un jour le dieu des amoureux De notre cœur força la porte. Or nous faisons de notre mieux, Vous et moi, pour que l'intrus sorte ; Ce n'est pas la faute à nous deux Si nous nous aimons de la sorte. Contre un hôte si dangereux Nul n'osa nous prêter main forte ; La raison fut sourde a nos vœux, L'amitié même fit la morte... Ce n'est pas la faute à nous deux.
Text Authorship:
- by Louise-Rose Gérard (1866 - 1953), as Rosemonde Gérard, no title, written 1889, appears in Les pipeaux, in 3. L'éternelle chanson, no. 3, Paris, Éd. Alphonse Lemerre, first published 1889
See other settings of this text.
Confirmed with Rosemonde Gérard, Les Pipeaux, Paris, Alphonse Lemerre, 1889, pages 110-111.
Researcher for this page: John Versmoren
7. Le bouquet  [sung text not yet checked]
Et vous m’apporterez des fleurs… oh ! pas en perle Et pas de gerbe riche au feuillage important ! Mais, imprégné d’un chant de fauvette ou de merle, Un vrai bouquet cueilli dans un buisson chantant ; Un bouquet d’aubépine ou de jacinthe blême Dont le parfum vous fit retourner en passant ; Un vrai bouquet que vous aurez cueilli vous-même, Et que vous porterez vous-même en pâlissant. Oui, je veux ce bouquet de cette étrange sorte… Car le plus beau bouquet qu’il se peut que l’on porte, C’est celui dont on perd des fleurs sur le chemin, Et qu’on apporte, un peu défait, au cimetière, Et qu’on dépose, éparpillé, sur une pierre, Parce qu’on le portait d’une tremblante main.
Text Authorship:
- by Louise-Rose Gérard (1866 - 1953), as Rosemonde Gérard, "Le bouquet"
Go to the general single-text view
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]8. Le cimetière  [sung text not yet checked]
Le cimetière est un jardin Rempli de fleurs et de lumière ; Le jasmin fleurit sur la pierre, L’oiseau chante sur le jasmin ; Mais que le désespoir va loin Dans une âme qui désespère… Le cimetière est un jardin Rempli de fleurs et de lumière. C’est presque la mort, le chagrin ! Et j’ai, parmi l’herbe légère, Compris l’erreur, l’erreur sans fin C’est notre cœur, le cimetière… Le cimetière est un jardin !
Text Authorship:
- by Louise-Rose Gérard (1866 - 1953), as Rosemonde Gérard, "Le cimetière"
Go to the general single-text view
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]9. La grenouille  [sung text not yet checked]
La grenouille chante au bord de l'étang, Qui sous un rayon de lune tremblote. Dans le crépuscule où du rêve flotte, C'est un chant très doux et très attristant. C'est un chant très doux et très attristant Qui monte, -- toujours une même note. Sur l'eau qui se moire et qui papillote, Le roseau fluet penche en chuchotant. Le roseau fluet penche en chuchotant, Et la mare aux grands nénuphars clapote. La lune, ce soir, est un peu pâlotte... C'est un chant très doux et très attristant. C'est un chant très doux et très attristant Qui monte, -- toujours une même note. Dans le crépuscule où du rêve flotte, La grenouille chante au bord de l'étang.
Text Authorship:
- by Louise-Rose Gérard (1866 - 1953), as Rosemonde Gérard, "La grenouille", appears in Les pipeaux, in 1. Rustica, Paris, Alphonse Lemerre, first published 1889
Go to the general single-text view
Confirmed with Rosemonde Gérard, Les Pipeaux, Paris, Alphonse Lemerre, 1889, pages 48-49.
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]
10. Les petits canards  [sung text not yet checked]
Ils vont, les petits canards, Tout au bord de la rivière, Comme de bons campagnards. Barboteurs et frétillards, Heureux de troubler l'eau claire, Ils vont, les petits canards. Ils semblent un peu jobards, Mais ils sont à leur affaire, Comme de bons campagnards. Dans l'eau pleine de têtards, Où tremble une herbe légère, Ils vont, les petits canards, Marchant, par groupes épars, D'une allure régulière Comme de bons campagnards.1 Amoureux et nasillards, Chacun avec sa commère, Ils vont, les petits canards, Comme de bons campagnards.
Text Authorship:
- by Louise-Rose Gérard (1866 - 1953), as Rosemonde Gérard, "Villanelle des petits canards", appears in Les pipeaux, in 1. Rustica, Paris, Éd. Alphonse Lemerre, first published 1889
See other settings of this text.
Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- ENG English [singable] (Peter Low) , "The little ducks go walking", copyright © 2000, (re)printed on this website with kind permission
- ENG English (Brian Charles Witkowski) , copyright © 2004, (re)printed on this website with kind permission
- GER German (Deutsch) (Bertram Kottmann) , copyright © 2017, (re)printed on this website with kind permission
Confirmed with Rosemonde Gérard, Les Pipeaux, Paris, Alphonse Lemerre, 1889, pages 36-37.
1 Chabrier adds:Dans le beau vert d'épignards De l'humide cressonnière Ils vont, les petits canards, Et quoiqu'un peu goguenards, Ils sont d'humeur débonnaire Comme de bons campagnards! Faisant, en cercles bavards, Un vrai bruit de pétaudière, Ils vont, les petits canards, Dodus, lustrés et gaillards, Ils sont gais à leur manière, Comme de bons campagnards!
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]