La Source bleue et transparente au fond des bois
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Quatre Mélodies , opus 7
by Lucien Darbois (1875 - 1914)
1. La Source bleue
Language: French (Français)
Text Authorship:
- by Charles Jean Grandmougin (1850 - 1930), "Dans les bois"
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2. Hébé  [sung text not yet checked]
Language: French (Français)
Les yeux baissés, rougissante et candide, Vers leur banquet quand Hébé s'avançait. Les Dieux charmés tendaient leur coupe vide, Et de nectar l'enfant la remplissait. Nous tous aussi, quand passe la jeunesse, Nous lui tendons notre coupe à l'envi. Quel est le vin qu'y verse la Déesse? Nous l'ignorons; il enivre et ravit. Ayant souri dans sa grâce immortelle, Hébé s'éloigne; on la rappelle en vain. Longtemps encor sur la route éternelle, Notre oeil en pleurs suit l'échanson divin.
Text Authorship:
- by Louise-Victorine Ackermann, née Choquet (1813 - 1890), "Hébé", written 1860?, appears in Contes et Poésies, Éd. Librairie L. Hachette, first published 1863
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Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- ENG English (Peter Low) , "Hebe", copyright © 2000, (re)printed on this website with kind permission
3. Le Moulin
Language: French (Français)
Les vastes peupliers à la plainte berceuse
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Text Authorship:
- by Charles Jean Grandmougin (1850 - 1930), "Le Moulin, Vallée de Giverny"
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4. Son Nom  [sung text not yet checked]
Language: French (Français)
Le parfum d’un lys pur, l’éclat d’une auréole, La dernière rumeur du jour, La plainte d’un ami qui s’afflige et console, L’adieu mystérieux de l’heure qui s’envole, Le doux bruit d’un baiser d’amour, L’écharpe aux sept couleurs que l’orage en la nue Laisse, comme un trophée, au soleil triomphant, L’accent inespéré d’une voix reconnue, Le vœu le plus secret d’une vierge ingénue, Le premier rêve d’un enfant, Le chant d’un chœur lointain, le soupir qu’à l’aurore Rendait le fabuleux Memnon, Le murmure d’un son qui tremble et s’évapore… Tout ce que la pensée a de plus doux encore, Ô lyre ! est moins doux que son nom ! Prononce-le tout bas, ainsi qu’une prière, Mais que dans tous nos chants il résonne à la fois ! Qu’il soit du temple obscur la secrète lumière ! Qu’il soit le mot sacré qu’au fond du sanctuaire Redit toujours la même voix ! Ô mes amis ! avant qu’en paroles de flamme, Ma muse, égarant son essor, Ose aux noms profanés qu’un vain orgueil proclame, Mêler ce chaste nom, que l’amour dans mon âme A caché, comme un saint trésor, Il faudra que le chant de mes hymnes fidèles Soit comme un de ces chants qu’on écoute à genoux ; Et que l’air soit ému de leurs voix solennelles, Comme si, secouant ses invisibles ailes, Un ange passait près de nous !
Text Authorship:
- by Victor Hugo (1802 - 1885), "Son nom", written 1823, appears in Odes et Ballades, in 5. Odes, Livre Cinquième - 1819-1828, no. 13
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Confirmed with Victor Hugo, Odes et Ballades, Paris, Ollendorf, 1912, pages 263-264. The poem is preceded by the epigraph "Nomen, aut numen."