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When shall we three meet again? Macbeth «Wann treffen wir drei wieder zusamm?» «Um die siebente Stund', am Brückendamm.» «Am Mittelpfeiler.» «Ich lösche die Flamm.» «Ich mit» «Ich komme vom Norden her.» «Und ich vom Süden.» «Und ich vom Meer.» «Hei, das gibt einen Ringelreihn, Und die Brücke muß in den Grund hinein.» «Und der Zug, der in die Brücke tritt Um die siebente Stund'?» «Ei, der muß mit.» «Muß mit» «Tand, Tand Ist das Gebilde von Menschenhand!» * * * Auf der Norderseite, das Brückenhaus -- Alle Fenster sehen nach Süden aus, Und die Brücknersleut' ohne Rast und Ruh Und in Bangen sehen nach Süden zu, Sehen und warten, ob nicht ein Licht Übers Wasser hin «Ich komme» spricht, «Ich komme, trotz Nacht und Sturmesflug, Ich, der Edinburger Zug.» Und der Brückner jetzt: «Ich seh' einen Schein Am anderen Ufer. Das muß er sein. Nun, Mutter, weg mit dem bangen Traum, Unser Johnie kommt und will seinen Baum, Und was noch am Baume von Lichtern ist, Zünd' alles an wie zum heiligen Christ, Der will heuer zweimal mit uns sein, -- Und in elf Minuten ist er herein.» Und es war der Zug. Am Süderturm Keucht er vorbei jetzt gegen den Sturm, Und Johnie spricht: «Die Brücke noch! Aber was tut es, wir zwingen es doch. Ein fester Kessel, ein doppelter Dampf, Die bleiben Sieger in solchem Kampf. Und wie's auch rast und ringt und rennt, Wir kriegen es unter, das Element. Und unser Stolz ist unsre Brück'; Ich lache, denk' ich an früher zurück, An all den Jammer und all die Not Mit dem elend alten Schifferboot; Wie manche liebe Christfestnacht Hab' ich im Fährhaus zugebracht Und sah unsrer Fenster lichten Schein Und zählte und konnte nicht drüben sein.» Auf der Norderseite, das Brückenhaus -- Alle Fenster sehen nach Süden aus, Und die Brücknersleut' ohne Rast und Ruh Und in Bangen sehen nach Süden zu; Denn wütender wurde der Winde Spiel, Und jetzt, als ob Feuer vom Himmel fiel', Erglüht es in niederschießender Pracht Überm Wasser unten... Und wieder ist Nacht. * * * «Wann treffen wir drei wieder zusamm?» «Um Mitternacht, am Bergeskamm,» «Auf dem hohen Moor, am Erlenstamm.» «Ich komme.» «Ich mit» «Ich nenn' euch die Zahl.» «Und ich die Namen.» «Und ich die Qual.» «Hei! Wie Splitter brach das Gebälk entzwei.» «Tand, Tand Ist das Gebilde von Menschenhand.»
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Authorship:
- by Theodor Fontane (1819 - 1898), "Die Brück' am Tay", written 1879 [author's text checked 1 time against a primary source]
Musical settings (art songs, Lieder, mélodies, (etc.), choral pieces, and other vocal works set to this text), listed by composer (not necessarily exhaustive):
- by Julius Weismann (1879 - 1950), "Die Brücke vom Tag", op. 44 (Neun Lieder) no. 8 (1904/8) [ voice and piano ], note: the title is as it appears in the Werkverzeichnis published by the Weismann-Archiv [sung text not yet checked]
Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- ENG English (Jörg W. Dr. Rademacher) , "The Tay Bridge", copyright © 2010, (re)printed on this website with kind permission
- FRE French (Français) (Pierre Mathé) , "Le pont de la Tay", copyright © 2010, (re)printed on this website with kind permission
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]
This text was added to the website: 2009-11-03
Line count: 74
Word count: 391
Quand nous reverrons-nous ? --Macbeth « Quand toutes trois nous reverrons-nous ? » « À la septième heure, sur le pont, » « Sur la pile du milieu. » « J'éteins la flamme. » « Je viendrai » « Je viendrai du Nord » « Et moi du sud » « Et moi de la mer. » « Allons, faisons une ronde et le pont s'écroulera. » « Et le train qui passe sur le pont à la septième heure ? » « Allez ! Il s'écroulera avec, s'écroulera avec » « Babiole, babiole Tout ça est l'œuvre de la main de l'homme ! » * * * Sur le côté nord, la maison du pont ; Toutes ses fenêtres regardent vers le sud, Et les employés du pont, anxieux Regardent sans trêve vers le sud. Regardent et attendent de voir une lumière Sur l'eau, signifiant « J'arrive ». « J'arrive malgré la nuit et la tempête, Moi, le train d'Édimbourg. » Et le gardien du pont dit : «Je vois une lueur Sur l'autre rive. Ce doit être lui. Alors mère, chasse tes cauchemars, Notre Johnie arrive et veut son arbre Et tout ce qu'il y a de lumières sur l'arbre Allume-les, comme pour l'enfant Jésus, Cette année il sera deux fois avec nous, Et il entrera dans onze minutes. » Et c'était le train. À la tour sud Il passe en haletant, contre la tempête, Et Johnie dit : «Voici le pont ! Mais alors quoi, nous le passerons bien. Une solide chaudière, à double action, Sortira vainqueur d'un tel combat. Ils peuvent lutter et foncer sans cesse, Nous terrasserons les éléments. Et ce pont est notre fierté ; Je ris quand je pense au temps passé, À tous ces tracas et tous ces embarras Avec ce vieux et misérable bac : Combien de chères fêtes de Noël Ai-je passé dans la cabine du passeur À voir la lueur claire de notre fenêtre Là-bas, où je souhaitais mais ne pouvais être. » Sur le côté nord, la maison du pont ; Toutes ses fenêtres regardent vers le sud Et les employés du pont, anxieux Regardent sans trêve vers le sud ; Puis le vent se leva avec plus de fureur Et alors ce fut comme si le feu du ciel s'abattait, S'embrasait, et dans un flux splendide Tombait en bas, dans l'eau ... et puis c'est la nuit. * * * « Quand toutes trois nous reverrons-nous ? » « À minuit, sur la crête de la montagne, » « Sur le haut marécage, près du saule » « Je viendrai » « Moi aussi » « Je vous ferai savoir le compte » « Et moi leurs noms » « Et moi leurs souffrances. » « Allons ! La structure s'est brisée en mille morceaux. » « Babiole, babiole Tout ça est l'œuvre de la main de l'homme ! »
Authorship:
- Translation from German (Deutsch) to French (Français) copyright © 2010 by Pierre Mathé, (re)printed on this website with kind permission. To reprint and distribute this author's work for concert programs, CD booklets, etc., you may ask the copyright-holder(s) directly or ask us; we are authorized to grant permission on their behalf. Please provide the translator's name when contacting us.
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Based on:
- a text in German (Deutsch) by Theodor Fontane (1819 - 1898), "Die Brück' am Tay", written 1879
This text was added to the website: 2010-10-07
Line count: 74
Word count: 484