Nächtig führt ich in dem Nachen
Language: German (Deutsch)
Nächtig führt ich in dem Nachen
Meine Liebe Blond und schlank;
Wollten zwar zusammen wachen,
Doch ihr holdes Auge sank:
Und ich weckte sie zuweilen,
Doch sie blieb im Schlummer liegen;
Denn der Barke sanftes Wiegen
Wiegte bald sie wieder ein.
Und, vom Wolkenstreif durchzogen,
Kam der helle Mond heran.
Da umblinkten lichte Wogen
Unsrer Gondel sanfte Bahn.
Und ein leises Lüftchen spielte
Mit der Locke goldner Fülle,
Hob mit zartem Hauch die Hülle
Von des Mädchens Busen los.
So von ihrem Reiz umfangen,
Ruht ich da in trunkner Lust,
Nah den Rosen ihrer Wangen,
Nah dem Mund und nah der Brust.
Tausend wechselnde Gefühle
Sproßten mir aus diesen Zügen,
Eine Regung, ein Vergnügen,
Das ich kaum zu nennen weiß.
Angebannt von Wonn und Liebe,
Mußt ich sehn und wieder sehn,
Ach! und Amors regem Triebe
Konnt ich kaum noch widerstehn.
Und ich schloß die Augenlider,
Wollte schlummern leise, leise,
Doch so nah dem Feuerkreise
Fand ich weder Rast noch Ruh.
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Text Authorship:
Musical settings (art songs, Lieder, mélodies, (etc.), choral pieces, and other vocal works set to this text), listed by composer (not necessarily exhaustive):
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- FRE French (Français) (Pierre Mathé) , "La Biondina", copyright © 2013, (re)printed on this website with kind permission
Researcher for this text: Emily Ezust [
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This text was added to the website: 2011-04-10
Line count: 32
Word count: 161
La Biondina
Language: French (Français)  after the German (Deutsch)
De nuit, je menais en une nacelle
Ma blonde et svelte bien-aimée ;
Il est vrai qu'ensemble nous voulions veiller
Mais ses chers yeux se fermaient,
Aussi je la réveillais de temps en temps,
Mais elle restait allongée à somnoler ;
Puis le léger balancement de la barque
La berçait pour bientôt l'endormir.
Et, passant à travers une bande de nuages,
Une claire lune s'approcha.
Alors de légère vagues brillèrent autour
De la route tranquille de notre gondole.
Puis un léger souffle d'air joua
Dans la luxuriance de ses boucles d'or,
Et d'un tendre soupir souleva le voile
Couvrant la poitrine de la jeune fille.
Ainsi saisi par sa grâce,
Je m'arrêtai là, enivré de plaisir,
Près du rose de ses joues,
Près de sa bouche et près de sa poitrine.
Ces traits faisaient naître en moi
Mille sensations changeantes,
Une excitation, un plaisir,
Que je ne saurais décrire qu'avec peine.
Subjugué par la félicité et l'amour,
Il me fallait voir et voir encore,
Ah, à l'intense zèle d'Amour,
Je pouvais à peine résister.
Et je fermai les yeux,
Voulant m'endormir, tout doucement,
Mais aussi près de ce cercle de feu,
je ne trouvai ni cesse ni repos.
Text Authorship:
- Translation from German (Deutsch) to French (Français) copyright © 2013 by Pierre Mathé, (re)printed on this website with kind permission. To reprint and distribute this author's work for concert programs, CD booklets, etc., you may ask the copyright-holder(s) directly or ask us; we are authorized to grant permission on their behalf. Please provide the translator's name when contacting us.
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