Je connais un vieux récit
Qui a un écho trouble et confus :
Un chevalier gisait, d'amour blessé,
Mais son amour était l'infidèle.

Puisqu'infidèle, il doit mépriser
Le plus grand amour de son propre cœur,
Puisqu'infamante, il doit éprouver
Sa propre peine d'amour.

Il aimerait entrer dans la lice
Et inviter des chevaliers à un assaut:
« Il peut se préparer au combat,
Celui qui accuse mon amour de déshonneur ! »

Alors tous se tairont,
Sauf sa propre douleur :
Il devra alors pointer sa lance
Contre son propre cœur souffrant.

Je suis le chanteur bien connu,
Le chasseur de rats voyageur,
Dont cette ville à l'ancienne renommée
A un besoin sûr et certain.
Et même si les rats sont nombreux,
Et même si les belettes entrent dans la danse,
D'eux tous je nettoierai cet endroit
Il devront partir, les uns et les autres.

Et puis, ce chanteur bien disposé
Est aussi parfois un piégeur d'enfant,
Qui subjugue même les plus sauvages,
Quand il chante ses contes dorés.
Et même si les garçons sont défiants
Et même si les filles sont intriguées,
Je les attrape avec mes cordes,
Et tous doivent me suivre.

Et puis, ce chanteur bien doué
Est occasionnellement un piégeur de filles ;
Il n'est pas une ville qu'il visite
Où il n'en a pas séduit.
Et même si les filles sont bêtes
Et même si les filles sont rêches
Toutes attrapent le mal d'amour
De ses cordes enchantées et de ses chants.

C'est la nuit et la tempête siffle de plus en plus,
moines espagnols, ouvrez-moi la porte !

Laissez-moi me reposer, jusqu'à ce que le son des cloches me réveille,
Et m'envoie en sursaut pour la prière dans l'église.

Préparez pour moi ce que votre maison peut offrir,
une robe de l'ordre et un sarcophage !

Accordez-moi une petite cellule, initiez-moi,
plus de la moitié du monde était à moi.

La tête qui maintenant se soumet à la tonte
était couronnée de diadèmes.

Les épaules qui sont maintenant sous la robe
étaient ornées avec l'hermine impériale.

Maintenant je suis comme mort avant la mort
et tombe en ruines, comme le vieil empire.