Peine et plaisir, tout finira, tu me l’as dit, je veux le croire
. . . . . . . . . .
— The rest of this text is not
currently in the database but will be
added as soon as we obtain it. —
Six Romances avec accompaniment de piano-forte
Song Cycle by Maria Szymanowska, née Marianna Agata Wołowska (1789 - 1831)
1.
Text Authorship:
- by Anonymous / Unidentified Author
Based on:
- a text in Russian (Русский) by Aleksandr Sergeyevich Pushkin (1799 - 1837) [text unavailable]
Go to the general single-text view
2. Romance du saule  [sung text not yet checked]
Subtitle: de Shakespear
Au pied d’un saule assise tous les jours Mais sur son cœur que navrait sa blessure Tête baissée en dolente posture On l’entendrait qui pleurait ses amours Chantez le saule et sa douce verdure. Et cependant les limpides ruisseaux A ses sanglots mêlaient leur doux murmure. Pleurs de ses yeux s’échappaient sans mesure, Qui les rochers affligeaient sur ses maux. Chantez le saule et sa douce verdure. O saule verd, saule que je chéris ! Saule d’amour, seras ma parure : Ne l’accusez des ennuis que j’endure ; Je lui pardonne, helas ! tous ses mépris. Chantez le saule et sa douce verdure. A cet ingrat qui trahit ses sermons, Je reprochais tendrement mon injure, Imite-moi, répondit le parjure ; Ouvre ton cœur à de nouveaux amans. Chantez le saule et sa douce verdure.
Text Authorship:
- by Pierre Letourneur (1736 - 1788) [an adaptation]
Based on:
- a text in English by William Shakespeare (1564 - 1616), appears in The Tragedy of Othello, the Moor of Venice, Act IV scene 3 [an adaptation]
Based on:
- a text in Middle English from Volkslieder (Folksongs) , "Willow song", first published 1583
See other settings of this text.
Note: The text was chosen by Mme. Corancez for Rousseau to set to music, as described in Poet-Lore, A Monthly Magazine Devoted to Shake-Speare, Browning, and the Comparative Study of Literature, Volume 1, Philadelphia, 1889, page 173
Research team for this page: Emily Ezust [Administrator] , Iain Sneddon [Guest Editor]
3. Ballade  [sung text not yet checked]
Quand un Amant fidèle et tendre Nous sert et s’attache à nos pas Pourquoi chercher à se défendre Qu’on est sotte de n’aimer pas. Mais quand on voit un infidèle Qu’on peut aisément enflammer Qui voltige de belle en belle Ah ! que l’on est sotte d’aimer. Quand on peut former une chaine Sans chagrin et sans embarras Quand l’amour n’a rien qui nous gêne Qu’on est sotte de n’aimer pas. Mais pour peu qu l’on aità craindre Qu’on puisse cesser de harmer Ou qu’un berger n’ait l’art de feindre Ah ! que l’on est sotte d’aimer. Au temps de l’aimable jeunesse Où l’on brille de mille appas L’oroqu’ à nous plaire tout sempresse Qu’on est sotte de n’aimer pas. Quand un amant sans constance Croit avoir droit de nous charmer S’il faout payer ses soins d’avance Ah ! que l’on est sotte d’aimer.
Text Authorship:
Go to the general single-text view
Researcher for this page: Joost van der Linden [Guest Editor]4. Romance à la nuit
Ah! si pouvez ramener mon Amante, Voiler ses pas sur cette haute tour, Profonde nuit seroit pour moi brillante Bien plus encore que beau rayon du jour. Plus ne chantez plaintive tourterelle, Doux chants pourroient éveiller les jaloux. Devez chérir et protéger ma belle Est douce, tendre et simple comme vous. Pouvez-vous pas, ruisseau dans cette plaine, Moins murmurer peur de troubler plaisir. Ah! le voyez moi-même dans ma peine, Garde en mon sein moitié de mes soupirs.
Text Authorship:
- by Anonymous / Unidentified Author
Go to the general single-text view
Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- GER German (Deutsch) (Ingrid Schmithüsen) , "Romanze an die Nacht", copyright © 2013, (re)printed on this website with kind permission
5.
Le connais-tu, ma chère Éléonore
. . . . . . . . . .
— The rest of this text is not
currently in the database but will be
added as soon as we obtain it. —
Text Authorship:
- by François-Joachim de Pierre de Bernis, comte de Lyonnais (1715 - 1794)
Go to the general single-text view
6.  [sung text not yet checked]
Se spiegar potessi, Oh! Dio, L’eccessivo mio dolore Desterei nel tuo core Qualche segno di pietà. Forse allor, fatta pietosa Volgereste a me lo spero Uno sguardo lusinghiero Della mia felicità.
Text Authorship:
- by Anonymous / Unidentified Author
Go to the general single-text view
Researcher for this page: Joost van der Linden [Guest Editor]