Belle écoutez ma rapsodie
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Chansons d'amour
by Émile Guimet (1836 - 1918)
1. Le psaltérion
2. Promenade sous bois
Écoute, au dessus de ma tête
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3. Oh ! Dis‑moi...
Rappelle toi ce jour où la nature
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4. Le torero
En affrontant la mort traîtresse
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5. Le verger
Subtitle: Chanson de mai
Ma belle, viens te promener
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6. Le matin  [sung text not yet checked]
Moriturus moriturae ! Le voile du matin sur les monts se déploie. Vois, un rayon naissant blanchit la vieille tour ; Et déjà dans les cieux s'unit avec amour, Ainsi que la gloire à la joie, Le premier chant des bois aux premiers feux du jour. Oui, souris à l'éclat dont le ciel se décore ! - Tu verras, si demain le cercueil me dévore, Un soleil aussi beau luire à ton désespoir, Et les mêmes oiseaux chanter la même aurore, Sur mon tombeau muet et noir ! Mais dans l'autre horizon l'âme alors est ravie. L'avenir sans fin s'ouvre à l'être illimité. Au matin de l'éternité On se réveille de la vie, Comme d'une nuit sombre ou d'un rêve agité.
Text Authorship:
- by Victor Hugo (1802 - 1885), "Le matin", written 1822, appears in Odes et Ballades, in 5. Odes, Livre Cinquième - 1819-1828, no. 8
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Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]7. Le désespoir
Comme des oiseaux funèbres
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8. Le vin blanc
Il faut, pour faire du vin blanc
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9. Chanson  [sung text not yet checked]
J'ai dit à mon cœur, à mon faible cœur : N'est-ce point assez d'aimer sa maîtresse ? Et ne vois-tu pas que changer sans cesse, C'est perdre en désirs le temps du bonheur ? Il m'a répondu : Ce n'est point assez, Ce n'est point assez d'aimer sa maîtresse ; Et ne vois-tu pas que changer sans cesse Nous rend doux et chers les plaisirs passés ? J'ai dit à mon cœur, à mon faible cœur : N'est-ce point assez de tant de tristesse ? Et ne vois-tu pas que changer sans cesse, C'est à chaque pas trouver la douleur ? Il m'a répondu : Ce n'est point assez Ce n'est point assez de tant de tristesse ; Et ne vois-tu pas que changer sans cesse Nous rend doux et chers les chagrins passés ?
Text Authorship:
- by Louis Charles Alfred de Musset (1810 - 1857), "Chanson : J'ai dit à mon cœur...", appears in Premières poésies
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Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- ENG English (Peter Low) , copyright © 2022, (re)printed on this website with kind permission
10. Ce n'est pas vrai
Berthe ne croit pas ce qu'on dit
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Text Authorship:
- by Émile Guimet (1836 - 1918), "Ce n'est pas vrai"
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11. La fille de la vague
Avec un son plaintif le flot meurt sur la grève
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12. Veux‑tu m'aimer ?
Viens dans les champs où l'herbe pousse
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13. Est‑ce Lisette ?
Pour sortir d'embarras
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Text Authorship:
- by Émile Guimet (1836 - 1918), "Est-ce Lisette ?"
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14. Lai de Thibaut de Champagne
Quand je vois la rose odorante
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Text Authorship:
- by Joseph 'Chevalier' Bard (1803 - 1861)
Based on:
- a text in Old French (Ancien français) by Thibaut Ier de Navarre (1201 - 1253) [text unavailable]
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15. L'ange exilé  [sung text not yet checked]
[ ... ] L’enfer mugit d’un effroyable rire Quand, dégoûté de l’orgueil des méchants, L’ange, qui pleure en accordant sa lyre, Fait éclater ses remords et ses chants. Dieu d’un regard l’arrache au gouffre immonde, Mais ici-bas veut qu’il charme nos jours. La poésie enivrera le monde. Ange aux yeux bleus, protégez-moi toujours. Vers nous il vole en secouant ses ailes, Comme l’oiseau que l’orage a mouillé. Soudain la terre entend des voix nouvelles ; Maint peuple errant s’arrête émerveillé. Tout culte alors n’étant que l’harmonie, Aux cieux jamais Dieu ne dit : Soyez sourds. L’autel s’épure aux parfums du génie. Ange aux yeux bleus, protégez-moi toujours. En vain l’enfer, des clameurs de l’Envie, Poursuit cet ange échappé de ses rangs ; De l’homme inculte il adoucit la vie, Et sous le dais montre au doigt les tyrans. Tandis qu’à tout sa voix prêtant des charmes Court jusqu’au pôle éveiller les amours, Dieu compte au ciel ce qu’il sèche de larmes. Ange aux yeux bleus, protégez-moi toujours. [ ... ]
Text Authorship:
- by Pierre Jean de Béranger (1780 - 1857), "L'ange exilé"
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Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]16. Quand même
Après deux grands mois pleins d'ennui
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17. La Fille de Golconde  [sung text not yet checked]
Près du lac bleu, tiède rivage, Sous les cascades d'Élora, Je vis passer dans mon jeune âge Celle que mon cœur adora, Et je lui dis : -- Rien ne t'égale, Trésor de perle et de corail, Aureng-Zeb, le roi du Bengale, Languit pour toi dans son sérail. Oh ! qui me le rendra, Le doux rivage De mon jeune âge ? Oh ! qui me redira La voix charmante De mon amante Sous les cascades d'Élora ? Je lui disais : -- L'astre qui brille Au front du dieu bleu, tous les soirs, A moins d'éclat, charmante fille, Que les rayons de tes yeux noirs. Conte-moi les plaintes touchantes De la sultane de Delhy ; Je les aime quand tu les chantes Avec ta voix de bengali. Oh ! qui me le rendra, Le doux rivage De mon jeune âge ? Oh ! qui me redira La voix charmante De mon amante Sous les cascades d'Élora ? Elle n'avait pas sa seconde, Lorsqu'à seize ans elle arriva, Avec les filles de Golconde, A la fête du dieu Siva. Sur vingt rivales des plus fières, C'est elle que l'on vint choisir, Et le sultan des cinq rivières En fit présent à son vizir. Oh ! qui me le rendra, Le doux rivage De mon jeune âge ? Oh ! qui me redira La voix charmante De mon amante Sous les cascades d'Élora ? A l'heure où le grand tigre rôde, Un soir, en vain, je l'attendis ; Un jeune bonze, à la pagode, Me la fit voir en paradis : Elle m'attend dans l'autre vie ; Le dieu bleu qui me la donna, Le dieu jaloux me l'a ravie Pour son jardin de Mandana. Oh ! qui me le rendra, Le doux rivage De mon jeune âge ? Oh ! qui me redira La voix charmante De mon amante Sous les cascades d'Élora ?
Text Authorship:
- by François Joseph Pierre André Méry (1798 - 1865), "La Fille de Golconde", written 1853?, appears in Mélodies poétiques, Paris, Éd. Victor Lecou, first published 1853
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Confirmed with Poésies intimes. Mélodies par Méry, Paris, Michel Lévy Frères, 1864, pages 128-130.
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]
18. Le mort amoureux
Je ne sens plus la pierre/ Peser sur mon corps froid
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Text Authorship:
- by Alphonse Karr (1808 - 1890), "Le mort amoureux", appears in Clotilde, Paris, Éd. Desessard, first published 1839
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19. Sur l'eau
La mer tranquille,/ Loin de la ville
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20. La Señora d'Alcantara
Une jeune señora d'Alcantara
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21. Chant de la nymphe des eaux  [sung text not yet checked]
Le ciel est pur, le sable est doux ; Venez fouler ce beau rivage ! Venez en rond vous joindre à nous ; Les vents se taisent sur la plage. Dansez, dansez, embrassez-vous ! Le ciel est pur, le sable est doux. Entendez-vous ce bruit lointain ? C’est du chien l’aboîment sonore. Le coq a chanté ce matin ; Sa voix a salué l’aurore. Dansez, dansez, embrassez-vous ! Le ciel est pur, le sable est doux.
Text Authorship:
- by Benjamin Laroche (1797 - 1852), no title
Based on:
- a text in English by William Shakespeare (1564 - 1616), no title, appears in The Tempest, Act I, scene 2
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Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]22. À franc étrier
À travers la Russie,/ Sur le terrain glacé
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23. Ah ! Quelle folie  [sung text not yet checked]
Ah ! quelle folie, De quitter la vie Pour une beauté Dont on est rebuté ! On peut, pour un objet aimable, Dont le cœur nous est favorable, Vouloir perdre la clarté ; Mais quitter la vie Pour une beauté Dont on est rebuté, Ah ! quelle folie !
Text Authorship:
- by Jean-Baptiste Pocquelin (1622 - 1673), as Molière, no title, written 1667, appears in La pastorale comique, Act I, Scene 14,
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Confirmed with Œuvres complètes de Molière, Tome premier, Paris, Furne et Cie, 1854, page 797.
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24. Fut‑il jamais  [sung text not yet checked]
Fut-il jamais douceur de cœur pareille À voir Manon dans mes bras sommeiller ? Son front coquet parfume l'oreiller ; Dans son beau sein, j'entends son cœur qui veille. Un songe passe, et s'en vient l'égayer. Ainsi s'endort la fleur d'églantier Dans son calice enfermant une abeille. Moi, je la berce ; un plus charmant métier, Fut-il jamais ? Mais le jour vient, et l'aurore vermeille Effeuille au vent son [bouquet printanier]1. Le peigne en main et la perle à l'oreille, À son miroir Manon [court]2 m'oublier. Hélas ! l'amour sans lendemain ni veille Fut-il jamais ?
Text Authorship:
- by Louis Charles Alfred de Musset (1810 - 1857), "Rondeau", written 1842, appears in Poésies nouvelles
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Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- ENG English (Peter Low) , "Rondo: Was there ever such sweetness of heart", copyright © 2010, (re)printed on this website with kind permission
Confirmed with Alfred de Musset, Poésies nouvelles (1836-1852), Charpentier, 1857, page 210.
1 Debussy: "printemps virginal"2 Debussy: "va"
Research team for this page: Emily Ezust [Administrator] , Peter Low [Guest Editor]
25. Chanson créole
Avec amour chagrin commence
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26. Frida
J'étais tranquille,/ J'étais heureux
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27. Viens une flûte invisible  [sung text not yet checked]
Viens! - une flûte invisible Soupire dans les vergers. - La chanson la plus paisible Est la chanson des bergers. Le vent ride, sous l'yeuse, Le sombre miroir des eaux. - La chanson la plus joyeuse Est la chanson des oiseaux. Que nul soin ne te tourmente. Aimons-nous! aimons toujours! - La chanson la plus charmante Est la chanson des amours.
Text Authorship:
- by Victor Hugo (1802 - 1885), no title, appears in Les Contemplations, in 2. Livre deuxiême -- L'âme en fleur, no. 13, first published 1846
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Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- ENG English (Emily Ezust) , no title, copyright © 2015
28. Le conscrit
Jamais le sort ne donne/ Ce que promet l'espoir
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29. Rupture
Je ne veux plus te voir, Je t'abandonne
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30. Chanson grecque
Pauvre enfant de la plaine,/ J'aimais la brune Irène
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Text Authorship:
- by Louis Morel-Retz (1825 - 1899), as Stop
Based on:
- a text in Greek (Ελληνικά) by Anonymous/Unidentified Artist [text unavailable]
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