II a passé comme un nuage, Comme un flot rapide en son cours ; Mais mon cœur garde son image Toujours. Mais son regard, plein de tendresse, A rencontré mes yeux ravis, Et depuis ce moment d ivresse Je vis ! Et ma pensée aventureuse D'un rêve se laisse charmer ; Je l'aime... et je me sens heureuse D'aimer. Mais parfois aussi je me livre, Hélas ! au plus cruel ennui, Quand je songe qu'il me faut vivre Sans lui ! Quoi ! cette âme que j ai rêvée, Que longtemps j'ai cherchée en vain, Cette sœur... je l'avais trouvée Enfin ! Je l'avais trouvée ! ... ô martyre ! Affreux tourment que j'offre à Dieu ! Je la trouve... et c'est pour lui dire : Adieu ! Pourtant, si le Ciel nous protége... II était si pur, notre amour ! Peut-être encor le reverrai-je Un jour. Oh ! qu'un moment je le revoie, Qu'un moment j'ose le chérir... Oui, dussé-je de tant de joie Mourir !
20 Mélodies, Vol. I
by Giulio Alary (1814 - 1891)
1. L'étranger  [sung text not yet checked]
Text Authorship:
- by Delphine de Girardin (1804 - 1855), as Madame Émile de Girardin, "L'étranger", written 1842, first published 1842
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Confirmed with &Oelig;uvres complètes de madame Émile de Girardin, née Delphine Gay, Paris, Henri Plon, 1861, pages 359-360.
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2. Les jeunes rêves d'amour
Ils sont passés, les songes pleins de charmes
. . . . . . . . . .
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Text Authorship:
- by Auguste Louis Charles de Messence, comte de La Garde-Chambonas (1783 - 1853?)
Based on:
- a text in English by Thomas Moore (1779 - 1852), "The dream of those days", appears in Irish Melodies
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3. Plaisir d'amour  [sung text not yet checked]
Plaisir d'amour ne dure qu'un moment ; Chagrin d'amour dure toute la vie, J'ai tout quitté pour l'ingrate Sylvie : Elle me quitte, et prend un autre amant. Plaisir d'amour ne dure qu'un moment ; Chagrin d'amour dure toute la vie. Tant que cette eau coulera doucement Vers [le]1 ruisseau qui borde la prairie, Je t'aimerai, me répétoit Sylvie : L'eau coule encore ; elle a changé pourtant, Plaisir d'amour ne dure qu'un moment ; Chagrin d'amour dure toute la vie.
Text Authorship:
- by Jean Pierre Claris de Florian (1755 - 1794), "Plaisir d'amour", appears in Célestine
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Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- ENG English (Barbara Miller) , "The pleasure of love", copyright © 2004, (re)printed on this website with kind permission
Confirmed with Nouvelles de M. de Florian, third edition, Paris, P. Didot l'aîné, 1792, page 376. Note: the word "répétoit" can be modernized to "répétait" (stanza 2, line 3)
Note: the first two lines are quoted by Piachaud in his La chanson de l'indifférent.
1 Martini: "ce"Research team for this page: Emily Ezust [Administrator] , Christine Füllemann , Rolf Rickenbacher
4. Marie‑Stuart  [sung text not yet checked]
(On suppose que la scène se passe dans la prison de Teukbury pendant la nuit qui précéda le jour où l'infortunée reine d'Écosse périt sur l'échafaud.) Quelle nuit !... quel songe pénible !... J'achève un douloureux sommeil ! Hélas ! la vérité, plus triste, plus terrible, M'attendait au réveil ! Dans les fers je m'agite encore : Mais le trépas bientôt les brise sans retour. Le premier rayon de l'aurore Doit éclairer mon dernier jour. Dans la profondeur des nuages J'entends la foudre retentir ; Le ciel, par la voix des orages, De mon destin vient m'avertir. Autour de ma retraite obscure, Les vents avec un long murmure Ont répété ces mots... Marie, il faut mourir !... Après tant de souffrance, Un supplice cruel, voilà mon espérance ! Recevez mes tristes adieux, Voûtes sombres, séjour d'alarmes, Muets témoins des larmes Qui coulent de mes yeux. Adieu, si doux pays de France1, Berceau de mon heureuse enfance, D'où le sort voulut me bannir : Ô ma patrie La plus chérie, Donne à Marie Un souvenir. Et toi, de mes tourments artisan détestable, Perfide Élisabeth, tu jouis de mes pleurs ! Dix-huit ans de malheurs De ta vengeance infatigable N'ont pu désarmer les fureurs ! Viens assister à mon supplice ; Que mon trépas comble tes vœux ; Et par le plus lâche artifice, Que ta haine encor me noircisse Chez nos derniers neveux. Tu ne saurais tromper la justice éternelle, Indulgente à l erreur et terrible aux forfaits ; Tu lui rendras compte cruelle, Des maux affreux que tu m'as faits. Que vois-je !... une clarté fatale A pénétré dans cette tour !... Et déja l'aube matinale Au monde ramène le jour. J'écoute... on approche... on m'appelle !... C'est la mort qui s'offre à mes yeux ! Un dieu met dans mon sein une force nouvelle ; Mon ame s'affranchit de sa chaîne mortelle, Et, brillante d'espoir, s'élève vers les cieux2.
Text Authorship:
- by Victor-Joseph Étienne, dit de Jouy (1764 - 1846), "Marie Stuart", subtitle: "Monologue lyrique "
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View original text (without footnotes)Confirmed with &Oelig;uvres complètes d'Étienne Jouy, Paris, Imprimerie de Jules Didot ainé, 1823, pages 206-208.
1 note from the poem's edition: "Les vers italiques sont de Marie Stuart elle-même."
2 note from the poem's edition: "Ces quatre scènes lyriques ont été composées pour être mises en musique par les jeunes élèves et pour les concours académiques."
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5. Le Papillon et la fleur  [sung text not yet checked]
La pauvre fleur disait au papillon céleste : - Ne fuis pas ! Vois comme nos destins sont différents. Je reste, Tu t'en vas ! Pourtant nous nous aimons, nous vivons sans les hommes Et loin d'eux, Et nous nous ressemblons, et l'on dit que nous sommes Fleurs tous deux ! Mais, hélas ! l'air t'emporte et la terre m'enchaîne. Sort cruel ! Je voudrais embaumer ton vol de mon haleine Dans le ciel ! Mais non, tu vas trop loin ! - Parmi des fleurs sans nombre Vous fuyez, Et moi je reste seule à voir tourner mon ombre A mes pieds. Tu fuis, puis tu reviens ; puis tu t'en vas encore Luire ailleurs. [Aussi]1 me trouves-tu toujours à chaque aurore Toute en pleurs ! Oh ! pour que notre amour coule des jours fidèles, Ô mon roi, Prends comme moi racine, ou donne-moi des ailes Comme à toi !
Text Authorship:
- by Victor Hugo (1802 - 1885), no title, written 1834, appears in Les Chants du Crépuscule, no. 27a, first published 1835
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Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- CAT Catalan (Català) (Salvador Pila) , copyright © 2023, (re)printed on this website with kind permission
- CHI Chinese (中文) [singable] (Dr Huaixing Wang) , copyright © 2024, (re)printed on this website with kind permission
- DUT Dutch (Nederlands) (Marike Lindhout) , no title, copyright © 2014, (re)printed on this website with kind permission
- ENG English (Peter Low) , no title, copyright © 2001, (re)printed on this website with kind permission
- ITA Italian (Italiano) (Elena Mariani) , no title, copyright © 2014, (re)printed on this website with kind permission
- SPA Spanish (Español) (Mercedes Vivas) , no title, copyright © 2006, (re)printed on this website with kind permission
1 Cogni: "Ainsi"
Research team for this page: Emily Ezust [Administrator] , Andrew Schneider [Guest Editor]
6. Un secret  [sung text not yet checked]
Si vous croyez que je vais dire Qui j'ose aimer, Je ne saurais, pour un empire, Vous la nommer. Nous allons chanter à la ronde, Si vous voulez, Que je l'adore et qu'elle est blonde Comme les blés. Je fais ce que sa fantaisie Veut m'ordonner, Et je puis, s'il lui faut ma vie, La lui donner. Du mal qu'une amour ignorée [Nous]1 fait souffrir, J'en porte l'âme déchirée Jusqu'à mourir. Mais j'aime trop pour que je die Qui j'ose aimer, Et je veux mourir pour ma mie Sans la nommer.
Text Authorship:
- by Louis Charles Alfred de Musset (1810 - 1857), "Chanson de Fortunio", written 1836, appears in Poésies nouvelles
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Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- ENG English (Laura Prichard) , copyright © 2016, (re)printed on this website with kind permission
- ENG English (Garrett Medlock) , copyright © 2020, (re)printed on this website with kind permission
Confirmed with Alfred de Musset, Poésies nouvelles (1836-1852), Paris, Charpentier, 1857, page 142.
First published in La revue des deux mondes, November 1, 1835, in Comédies et Proverbes, "Le Chandelier", Act II, Scene 3.
Note (provided by Garrett Medlock) for stanza 5, line 1 - "die" [sic] means "dis" here.
1 Koster: "Vous"Research team for this page: Emily Ezust [Administrator] , Garrett Medlock [Guest Editor]
7. Viens
Quand la nuit étend ses voiles
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8. La chanson de l'amoureux  [sung text not yet checked]
Allons au pré, ma belle reine ; Au pré là-bas où tout fleurit. La voûte du ciel est sereine, Avril nous regarde et sourit : Allons au pré, ma belle reine ; Au pré là-bas où tout fleurit. Courons au champ, ma douce amie ; Au champ où brille le bluet ; Vois, ta mère s'est endormie ; Nous suivrons le gazon muet : Courons au champ, ma douce amie ; Au champ où brille le bluet. Viens au bois, ma tendre maîtresse ; Au bois sombre et mystérieux... Là, pas de lumière traîtresse, Et pas de regard curieux... Viens au bois, ma tendre maîtresse, Au bois sombre et mystérieux.
Text Authorship:
- by Théodore, Marquis de Foudras (1800 - 1872), appears in Les Belges au Mexique. Récits et Histoires Militaires, in 2. Le lieutenant Trompe-la-Mort, Chapitre XVII (17), “A la rescousse !”; Bruxelles, Ch. Sacré-Duquesne, first published 1869
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Confirmed with Les Belges au Mexique. Récits et Histoires Militaires par le Comte de Foudras, Bruxelles, Ch. Sacré-Duquesne, 1869, page 165. Note: this is a prose work, and the above text is sung by a character in the story. The third stanza is separated from the first two by some dialog.
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9. Tu ne saurais m'oublier  [sung text not yet checked]
En vain au plaisir qui l'entraîne Tu livres ton cœur agité, Celui qui cause tant de peine N'a point de sincère gaîté. En vain, soumis à d'autres charmes, Ton bonbeur veut m'humilier, Dans tes yeux j'ai surpris des larmes ; Ah ! tu ne saurais m'oublier ! Cette voix qui savait te plaire, Ce regard qui te séduisait, Et cette jalouse colère Qu'un mot de ta bouche apaisait ; Ce nom que le fer de tes armes Grava sur le vert peuplier, Ces chants qui font couler tes larmes, Tu ne saurais les oublier. Jamais dans une àme plus pure Tu n'allumeras tant d'amour ! Jamais la crainte du parjure N'alarmera moins ton retour. Ils avaient pour toi trop de charmes, Les serments que tu veux nier ; Je t'ai vu trop fler de mes larmes, Tu ne saurais les oublier.
Text Authorship:
- by Delphine de Girardin (1804 - 1855), "Tu ne saurais m'oublier", subtitle: "Romance"
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Confirmed with Napoline, Poëme, Paris, Librairie de Charles Gosselin, 1834, pages 259-261.
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]
10. M'oublierez‑vous?
M'oublierez-vous que j'ai vu si tendre
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Text Authorship:
- by Sophie Rostopchine, Comtesse de Ségur (1799 - 1874)
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11. Le petit frère  [sung text not yet checked]
De ma sainte patrie J'accours vous rassurer. Sur ma tombe fleurie, Mes sœurs, pourquoi pleurer ? Dans son affreux mystère, La mort a des douceurs ; Je vous vois sur la terre : Ne pleurez point, mes sœurs. Dans les Cieux je suis ange, Et je veille sur vous ; Ma joie est sans mélange, Car je fus humble et doux. Des saintes immortelles Je suis le protégé ; Dieu m'a donné des ailes, Mais ne m‘a point changé. Ma souffrance est passée, Et mes pleurs sont taris ; Ma main n‘est plus glacée, Je joue et je souris ; Mon regard est le même, Et j'ai la même voix ; Mon cœur d'ange vous aime, Mes sœurs, comme autrefois. J'ai la même figure Qui charmait tant vos yeux ; La même chevelure Orne mon front joyeux, Mais ces boucles coupées, Au jour de mon trépas De vos larmes trempées, Ne repousseront pas ! Le Ciel est ma demeure, J'habite un palais d'or ; Nous puisons à toute heure Dans l'éternel trésor ; Un fil impérissable A tissé nos habits ; Nous jouons sur un sable D'opale et de rubis. Là-haut dans des corbeilles Les fleurs croissent sans art Les méchantes abeilles Là-haut n'ont point de dard ; Les roses qu‘on effeuille Peuvent encor fleurir, Et les fruits que l'on cueille Ne font jamais mourir. Les anges de mon âge Connaissent la sommeil : Je dors sur un nuage, Dans un berceau vermeil ; J'ai pour rideau le voile De la vierge d‘amour ; Ma lampe est une étoile Qui brille jusqu'au Jour. Le soir, quand la nuit tombe, Parmi vous je descends ; Vous pleurez sur ma tombe ; Vos larmes, je les sens. Caché parmi les pierres De ce funèbre lieu, J'écoute vos prières, Et je les porte à Dieu. Oh ! cessez votre plainte, Ma mère, croyez-moi ; Vous serez une sainte, Si vous gardez la foi. C'est un mal salutaire Que perdre un nouveau-né . Aux larmes d'une mère Tout sera pardonné !
Text Authorship:
- by Delphine de Girardin (1804 - 1855), as Madame Émile de Giarardin, "Le petit frère", appears in Poésies complètes de Mme Émile de Girardin
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Confirmed with Poésies complètes, Madame Emile de Girardin (Delphine Gay), Librairie nouvelle (Paris) , 1856, pages 330-332
Researcher for this page: Guy Laffaille [Guest Editor]
12. Quand vous passez
Jours de printemps, dont l'aspect radieux
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13. Les deux nids
Une hirondelle à ma fenêtre Bâtissait son nid printanier
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14. La fleur du souvenir  [sung text not yet checked]
On m'a conté qu'en Helvétie, Louise, une fleur à la main, Avec Lisbeth, sa douce amie, Un jour, s'était mise en chemin : « Bon ermite, assis sur la pierre, Disait-elle, dans ta prière Souviens-toi De moi !» Advint qu'en sa route orageuse Je ne sais quel pressentiment Troubla la belle voyageuse, Qui soupira profondément : «Hélas ! dit-elle à son amie, Avant toi si je perds la vie, Souviens-toi De moi !» Soudain l'avalanche sauvage Roule et l'entraîne dans son sein. Jetant alors sur le rivage La fleur qu'elle tenait en main : « Adieu, dit-elle, mon amie ; Garde bien cette fleur chérie ; Souviens-toi De moi !» Lisbeth veut suivre son amie : Au trépas elle veut courir ; Mais on la retient à la vie : Vivre, ah ! pour elle c'est mourir. Elle garda la fleur fidèle, Et, depuis, cette fleur s'appelle Souviens-toi De moi !
Text Authorship:
- by Charles Hubert Millevoye (1782 - 1816), "La fleur du souvenir"
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Confirmed with Œuvres de Millevoye, Paris, A. Quantin, 1880, pages 230-1
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]
15. La confession
Mon père, il me disait : Âme fraîche et gentille
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16. Félicie  [sung text not yet checked]
[ ... ]
Ce ruisseau dont l'onde pure
S'échappe tout près de moi,
Si j écoute son murmure,
Je crois qu'il parle de toi.
Partout je vois mon amie,
Sans songer, dans ma douleur,
Que ma chère Félicie
N'est ici que dans mon cœur.
Text Authorship:
- by Jean Pierre Claris de Florian (1755 - 1794), no title
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Confirmed with Nouvelles de M. de Florian, ed. by C. Schnabel, Verlag von Julius Klinkhardt, Leipzig, 1847, pages 130-131.
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]
17. Si
Si j'étais ange, je voudrais
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18. Oiseau, source, soleil
Dans mon âme, il est un bocage
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Text Authorship:
- by Arsène Housset (1815 - 1896), as Arsène Houssaye, "L'oiseau bleu", appears in Poésies d'Arsène Houssaye, "Les Sentiers perdus", first published 1841
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19. L'amitié  [sung text not yet checked]
Toi que d'amour j'aimerais pour la vie, Si pour l amour tu n'étais sans pitié ! Songe-s-y bien, près d'aussi belle amie Comme d'amour on brûle d'amitié. De mes transports si ta raison murmure, Je fais serment d'en cacher la moitié, Et je saurai sans devenir parjure, Jusqu'au tombeau t'adorer d'amitié. Frivole amant, je cherchais des amantes ; Mais je t'ai vue et j'ai tout oublié. A tes genoux, sur tes lèvres charmantes, Oh ! laisse-moi m'enivrer d'amitié !
Text Authorship:
- by Charles Hubert Millevoye (1782 - 1816), "L'amitié", subtitle: "À Madame ***", appears in Poésies diverses, in Poésies légères
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Confirmed with Œuvres de Millevoye, Paris, H. Fournier, 1840, pages 257-258.
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]
20. La page blanche  [sung text not yet checked]
Sur cette page blanche où mes vers vont éclore, Qu'un regard quelquefois ramène votre cœur. De votre vie aussi la page est blanche encore; Que ne puis-je y graver un seul mot : Le bonheur !
Text Authorship:
- by Alphonse Marie Louis de Lamartine (1790 - 1869), "Vers sur un album"
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Available translations, adaptations or excerpts, and transliterations (if applicable):
- ENG English (Anyi Sharma) , copyright © 2023, (re)printed on this website with kind permission
Researcher for this text: Emily Ezust [Administrator]