Available Poems in En Orient - 1. Les Quatrains d'Al-Ghazali - 1. Les amours - 1. L'Amour de la Femme (by Henri Cazalis )
[Complete]
- no. 1. Prélude ENG
- no. 2. Est-elle blonde ? est-elle brune ? ENG
- no. 3. Ô mon âme, écoute : c'est l'heure (Ernest Moret) ENG
- no. 4. Avant que la Mort lève, inquiétant mystère ENG
- no. 5. Le printemps divin me pénètre (Théodore Terestchenko) ENG
- no. 6. Ivre de soleil et d'espace (Théodore Terestchenko) ENG
- no. 7. Et dans l'extase des nuits calmes (Ernest Moret, Théodore Terestchenko) ENG
- no. 8. Je sens dans tout mon être un étrange tourment (Blair Fairchild, Ernest Moret) ENG
- no. 9. La souffrance d’aimer même atroce a des charmes ENG
- no. 10. Recevez mon baiser de la bouche des fleurs ENG
- no. 11. Je saigne, transpercé comme d'un fer de lance
- no. 12. Offre tes seins, ta joue en flamme
- no. 13. Mes yeux t'ont récité les prières d’amour (Ernest Moret)
- no. 14. Je rêve d'un amour étrange et sans pareil (Blair Fairchild) DUT
- no. 15. De ses lèvres la Mer voudrait baiser le ciel
- no. 16. Il n'est nulle douceur comme celle d’aimer
- no. 17. Oh ! les chers yeux de nos aimées
- no. 18. Le clair de lune est comme un soupir de la nuit (Blair Fairchild) DUT
- no. 19. Tes jeunes seins sont frais comme le clair de lune (Blair Fairchild)
- no. 20. Abaisse ta paupière, et puis relève-la
- no. 21. Je sais des airs anciens dont la langueur rappelle (Marguerite Canal, Théodore Terestchenko)
- no. 22. Aimons-nous et rêvons, nous n'aurons pas toujours (Blair Fairchild, Ernest Moret) DUT ENG
- no. 23. Mets mon front sur ton sein, mets ta main sur mes yeux
- no. 24. Les perles de tes dents, les saphirs de tes yeux
- no. 25. Ainsi que le croyant le sol de la mosquée
- no. 26. Quand au matin la mer immense qui chatoie
- no. 26. La nuit, tu montes dans mon rêve (Ernest Moret)
- no. 27. Une coupe de vin, quelques fruits, et pour table
- no. 28. Oh ! mon amour, pourquoi, quand nous sommes ensemble (Blair Fairchild) DUT
- no. 29. Kheyam, en ma chambre fermée
- no. 30. Les lignes de ton corps sont comme une musique (Blair Fairchild) DUT
- no. 31. Aspire en toi l’amour infini qui fermente
- no. 32. Sous la nuit chaude parfumée (Blair Fairchild) DUT
- no. 33. Si tout mon cœur pouvait ainsi qu'en ce moment (Blair Fairchild)
- no. 34. O mon doux jardin parfumé
- no. 35. Fraternise, ô mon âme, avec les astres d'or (Ernest Moret)
- no. 36. La mélodie aimante et calme de la nuit (Blair Fairchild, Ernest Moret) DUT ENG
- no. 37. Ta beauté, quand tu pars, me laisse comme un chant (Blair Fairchild, Ernest Moret) DUT
- no. 38. La pleine lune avec son pâle enchantement (Blair Fairchild, Ernest Moret, Théodore Terestchenko) DUT
- no. 39. Bois, ô lune d'amour, à la coupe vermeille (Ernest Moret)
- no. 40. Je te voudrais donner un amour sans souffrance (Théodore Terestchenko)
- no. 41. Ton doux corps imprégné d’essences précieuses
- no. 42. Je sens chanter en moi des musiques troublantes
- no. 43. Dans cette nuit d’orage où l’air était si lourd
- no. 44. Quand par le désir embrasés
- no. 45. Oh ! le magnétisme des yeux
- no. 46. Astres, musiciens célestes, votre chant (Ernest Moret)
- no. 47. Ton charme m’alanguit comme un toucher trop doux
- no. 48. Songes-tu, quand tes pieds marchent dans la poussière
- no. 49. Mon âme en toi veut fuir le monde détesté
- no. 50. Je voudrais t’emporter dans une solitude
- no. 51. Ton crâne, la demeure, où siégeaient fièrement
- no. 52. Puisque tu dois bientôt pourrir parmi les morts
- no. 53. Quand le vent fait pleurer les flûtes des roseaux (Blair Fairchild) DUT
- no. 54. La femme aux faibles mains dompte le cœur des hommes
- no. 55. Heure pâle où se meurt tout bruit ! (Blair Fairchild, R. Torre Alfina) DUT
- no. 56. O femmes qui, domptant l’orgueil des plus rebelles
- no. 57. J'ai fait de mon amour un monde hors du monde (Ernest Moret, Théodore Terestchenko)
- no. 58. Les clairs de lune bleus d’autrefois, que d’amants
- no. 59. Foudre sauvage, je t’envie
- no. 60. Ta chevelure d’or, lourde, épaisse, musquée
- no. 61. Soleil, âme du ciel si pareille à notre âme
- no. 62. Près de ton âme tout l'été (Ernest Moret)
- no. 63. Sons, lignes ou couleurs, tout rythme est une fête
- no. 64. Le grand jardin d'azur, la nuit, va se rouvrir (Blair Fairchild) DUT
- no. 65. Les chers yeux de celle que j’aime
- no. 66. Tout ton être, tes bras, tes lèvres, tes seins blancs (Blair Fairchild)
- no. 67. Déroule tes cheveux et laisse-moi pleurer
- no. 68. Tous sur le dos, les morts funèbres
- no. 69. Un oiseau dans la nuit jette ses notes brèves
- no. 70. Te souvient-il du temps où je tenais ta main (Théodore Terestchenko)
- no. 71. Un rossignol gémit dans l'ombre de mon âme (Théodore Terestchenko)
- no. 72. Oh ! le temps où, la nuit emplissant de silence
- no. 73. Bien que sur toi la Mort ait refermé sa porte
- no. 74. Le Soleil moribond qui saigne sur les flots
- no. 75. Des hommes sont très doux, ayant gardé dans l'âme
- no. 76. Que de temps après nous où fleuriront encore
- no. 77. Oui, tout est vain, étant mortel et périssable
- no. 78. La méditation est parfois importune
- no. 79. Doux est le crépuscule, à l’heure où l’on peut voir
- no. 80. Ces mensonges qui nous consolent de la vie
- no. 81. Avec du sang et de la boue
- no. 82. Émerveillons-nous de ce monde
- no. 83. Ton corps, est une fleur, tes yeux sont deux opales
- no. 84. Bien que ton corps ressemble au long corps du cyprès
- no. 85. Mes yeux sont éblouis par les lys de ta face
- no. 86. Par les rameaux silencieux (Théodore Terestchenko)
- no. 87. La lune, tendre luth d’argent (Théodore Terestchenko, R. Torre Alfina)
- no. 88. Un vieux sage m’a dit que l’amour est un songe
- no. 89. Je sais après la mort quel sera mon tombeau
- no. 90. Tes yeux s'ouvrent pour moi comme un paradis noir (Ernest Moret)
- no. 90. Si blanche sous tes longs plis blancs de mousseline
- no. 91. Mon âme est un sultan, et mon corps est sa tente
- no. 92. Le calme est en toi, le calme des nuits
- no. 93. Je retrouve ton âme en la douceur des plantes
- no. 94. Lorsque la grande nuit déroulera sur nous
- no. 95. Je meurs d’extase en contemplant la bien-aimée
- no. 96. L’on peut encore aimer sans croire en qui l’on aime
- no. 97. Afin d’éterniser le mai et la douleur
- no. 98. Ta perfide beauté, je la compare aux plantes
- no. 99. Tes seins fermes, tes seins aigus sont deux pistils
- no. 100. Plongeant parfois les yeux en elle
- no. 101. Les prêtres saints malgré tous ses débordements
- no. 102. Je ne chercherai pas à te jamais comprendre (Blair Fairchild, Ernest Moret) DUT
- no. 103. Si tu m'aimes ou non, je ne le veux savoir (Blair Fairchild, Ernest Moret) DUT
- no. 104. Pour dissoudre ton corps et pour tuer ton âme
- no. 105. Lune, tête de mort illuminant les nuits
- no. 106. Toute forme en ce monde est sans réalité