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Available Poems in Sonnets de Shakespeare (by François-Victor Hugo )

[Complete]

  • no. 1. Nous demandons une postérité aux plus belles créatures  GER ITA
  • no. 2. Lorsque quarante hivers assiégeront ton front  ITA
  • no. 3. Regarde dans ta glace, et dis à la figure que tu y vois  ITA
  • no. 4. Gaspilleur de grâce, pourquoi dépenses-tu  ITA
  • no. 5. Ces mêmes Heures, qui ont formé par un travail exquis  ITA
  • no. 6. Donc, ne laisse pas la rude main de l'hiver déflorer  ITA
  • no. 7. Regarde ! à l'orient, quand le soleil gracieux  ITA RUS
  • no. 8. Toi dont la voix est une musique, pourquoi écoutes-tu si mélancoliquement la musique ?  FIN HUN ITA RUS
  • no. 9. Est-ce par crainte de mouiller l'œil d'une veuve  ITA
  • no. 10. Ô honte ! avoue que tu n'aimes personne  ITA
  • no. 11. À mesure que tu déclineras, tu grandiras  ITA
  • no. 12. Quand je compte les heures qui marquent le temps  ITA RUS
  • no. 13. Oh ! si vous existiez par vous-même ! mais, ami, vous  ITA RUS
  • no. 14. Ce n'est pas des étoiles que je tire mon jugement ;  ITA
  • no. 15. Quand je considère que tout ce qui croît  ITA
  • no. 16. Mais pourquoi ne prenez-vous pas un moyen plus puissant  ITA
  • no. 17. Qui croira mon vers dans les temps à venir  ITA
  • no. 18. Te comparerai-je à un jour d'été ?  DUT ENG FIN GER ITA RUS RUS
  • no. 19. Temps dévorant, émousse les pattes du lion  ITA RUS
  • no. 20. Tu as une figure de femme, peinte de la main même de la nature  ITA
  • no. 21. Ainsi, il n'en est pas de moi comme de cette muse  GER ITA
  • no. 22. Ma glace ne me persuadera pas que je suis vieux  ITA
  • no. 23. Semblable à un acteur imparfait qui en scène est jeté  GER ITA
  • no. 24. Mon œil s'est fait peintre et a fait resplendir  ITA
  • no. 25. Que ceux qui sont en faveur auprès de leur étoile  ITA RUS
  • no. 26. Lord de mon amour, toi dont le mérite a impérieusement  ITA
  • no. 27. Épuisé de fatigue, je me mets vite au lit  ITA RUS
  • no. 28. Comment puis-je revenir en heureuse santé  ITA
  • no. 29. Lorsque, en disgrâce auprès de la fortune et des hommes  DUT ITA
  • no. 30. Quand aux assises de ma pensée doucement recueillie  GER ITA RUS
  • no. 31. Ton sein s'est enrichi de tous ces cœurs  ITA
  • no. 32. Si tu survis à mon existence résignée  ITA
  • no. 33. J'ai bien vu maintes fois l'aurore glorieuse  ITA RUS
  • no. 34. Pourquoi, ami, m'as-tu promis un si beau jour  ITA
  • no. 35. N'aie plus de chagrin de ce que tu as fait  ITA
  • no. 36. Laisse-moi te dire que tous deux nous devons rester deux  ITA
  • no. 37. Comme un père en sa décrépitude prend plaisir  ITA
  • no. 38. Comment ma muse pourrait-elle manquer de sujet  ITA
  • no. 39. Oh ! comment pourrais-je chanter tes mérites avec convenance  ITA
  • no. 40. Prends toutes mes amours, mon amour, va, prends-les toutes  ITA
  • no. 41. Que ton caprice commette tous ces péchés mignons  ITA
  • no. 42. Qu'elle soit à toi, ce n'est pas là tout mon chagrin ;  ITA
  • no. 43. C'est surtout quand mes yeux se ferment qu'ils voient le mieux  CAT ITA
  • no. 44. Si mon être grossier n'était fait que de pensée  ITA
  • no. 45. Les deux autres éléments, l'air subtil et le feu purifiant  ITA
  • no. 46. Mes yeux et mon cœur se font une guerre à mort  ITA
  • no. 47. Mes yeux et mon cœur ont conclu une ligue  ITA
  • no. 48. Quel soin j'ai eu, quand je me suis mis en voyage  ITA
  • no. 49. Contre le temps, si jamais ce temps arrive  ITA
  • no. 50. Comme j'avance péniblement sur la route  ITA
  • no. 51. Ainsi mon affection sait excuser la fastidieuse lenteur  ITA
  • no. 52. Je suis comme le riche qu'une clef bénie  GER ITA
  • no. 53. De quelle substance êtes-vous donc fait  ITA
  • no. 54. Oh ! comme la beauté semble plus belle  GER ITA
  • no. 55. Ni le marbre, ni les mausolées dorés  ITA
  • no. 56. Doux amour, renouvelle ta force ; qu'il ne soit pas dit  ITA
  • no. 57. Étant votre serf, ai-je autre chose à faire  ITA
  • no. 58. Que Dieu, qui tout d'abord me fit votre serf  ITA
  • no. 59. S'il est vrai qu'il n'y a rien de nouveau, mais que tout ce qui existe  ITA
  • no. 60. Comme les vagues se jettent sur les galets de la plage  GER ITA POL
  • no. 61. Est-ce ta volonté que ton image tienne 
  • no. 62. Le péché d'amour-propre possède mes yeux tout entiers 
  • no. 63. Un jour viendra où mon bien-aimé sera, comme je le suis maintenant 
  • no. 64. Quand je vois la main cruelle du temps dégrader  GER
  • no. 65. Puisque le bronze, la pierre, la terre, la mer sans bornes 
  • no. 66. Lassé de tout, j'invoque le repos de la mort  CZE GER ITA POL RUS RUS
  • no. 67. Ah ! pourquoi mon bien-aimé vivrait-il avec la corruption 
  • no. 68. Ainsi, sa joue est la mappemonde du passé 
  • no. 69. Ce que les yeux du monde voient de toi 
  • no. 70. Que tu sois blâmé, ce n'est pas un défaut chez toi 
  • no. 71. Quand je serai mort, cessez de me pleurer  GER HUN ITA RUS
  • no. 72. Oh ! de peur que le monde ne vous somme de raconter 
  • no. 73. Tu peux voir en moi ce temps de l'année  DUT FRI HUN ITA RUS RUS
  • no. 74. Mais résigne-toi : quand le fatal arrêt 
  • no. 75. Ainsi, vous êtes pour ma pensée ce qu'est la nourriture pour la vie  GER HUN ITA
  • no. 76. Pourquoi ma poésie est-elle ainsi dénuée des caprices nouveaux  ENG ITA RUS
  • no. 77. Ta glace te montrera comment s'usent tes beautés ; 
  • no. 78. Je t'ai si souvent invoqué pour ma muse 
  • no. 79. Tant que seul j'ai invoqué ton aide 
  • no. 80. Oh ! que je me sens faible en écrivant sur vous 
  • no. 81. Ou je vivrai pour faire votre épitaphe  ITA RUS RUS
  • no. 82. Je conviens que tu n'es pas marié à ma muse 
  • no. 83. Je n'ai jamais vu que vous eussiez besoin de fard 
  • no. 84. Quel est le plus éloquent ? qui en peut dire plus 
  • no. 85. Ma muse, bouche close, garde discrètement le silence 
  • no. 86. Est-ce cette poésie grandiose, dont la voile fière 
  • no. 87. Adieu ! tu es un bien trop précieux pour moi  ITA
  • no. 88. Quand tu seras d'humeur à me dédaigner 
  • no. 89. Dis que tu m'as quitté pour un défaut quelconque 
  • no. 90. Donc hais-moi, si tu veux ; maintenant, si jamais  RUS
  • no. 91. Les uns se glorifient de leur naissance, d'autres de leur talent 
  • no. 92. Mais va, démène-toi pour te dérober à moi  RUS
  • no. 93. Ainsi je pourrai vivre en te supposant fidèle  RUS
  • no. 94. Ceux qui ont le pouvoir de faire le mal et ne le font pas  GER
  • no. 95. Quel charme et quelle grâce tu donnes à la faute 
  • no. 96. Pour les uns, ton défaut est la jeunesse ; pour d'autres, la coquetterie ; 
  • no. 97. Quel hiver a été pour moi ton absence  ITA
  • no. 98. C'est au printemps que j'étais éloigné de vous  RUS
  • no. 99. J'ai grondé ainsi la violette précoce  RUS
  • no. 100. Où donc es-tu, muse, pour oublier si longtemps 
  • no. 101. Ô muse truande ! quelle sera ta pénitence pour avoir ainsi 
  • no. 102. Mon amour s'est fortifié, quoique plus faible en apparence  ITA RUS
  • no. 103. Hélas ! quelle pauvreté montre ma muse  ITA
  • no. 104. Pour moi, charmant ami, vous ne pouvez vieillir  ITA
  • no. 105. Qu'on ne traite pas mon amour d'idolâtrie 
  • no. 106. Lorsque, dans la chronique des temps évanouis  RUS
  • no. 107. Ni mes propres pressentiments, ni l'âme prophétique 
  • no. 108. Est-il dans le cerveau humain une idée, que puisse fixer l'encre 
  • no. 109. Oh ! ne dis jamais que mon cœur t'a trahi  RUS
  • no. 110. Hélas ! c'est vrai, je suis allé de côté et d'autre 
  • no. 111. Oh ! grondez à mon sujet la Fortune 
  • no. 112. Votre amour et votre pitié couvrent la marque 
  • no. 113. Depuis que je vous ai quitté, mes yeux sont dans mon esprit ; 
  • no. 114. Est-ce mon âme qui, couronnée en vous 
  • no. 115. Ils en ont menti, les vers, écrits par moi naguère 
  • no. 116. N'apportons pas d'entraves au mariage de nos âmes loyales  GER GER ITA
  • no. 117. Dites, pour m'accuser, que je n'ai payé 
  • no. 118. De même que, pour rendre l'appétit plus vif 
  • no. 119. Que de fois je me suis abreuvé de larmes de sirène 
  • no. 120. Les torts que vous eûtes un jour me réconcilient avec vous maintenant 
  • no. 121. Mieux vaut ici-bas être vil que de passer pour vil 
  • no. 122. Les tablettes que tu m'as données, toi 
  • no. 123. Non, tu ne te vanteras pas de me faire changer, ô Temps !  CZE ITA
  • no. 124. Si mon amour n'était qu'un enfant royal 
  • no. 125. À quoi me servirait-il de porter un dais au-dessus de mon amour 
  • no. 126. Ô mon aimable enfant, toi qui tiens en ton pouvoir le sablier capricieux 
  • no. 126. Dans le vieux temps, la brune n'était pas trouvée belle 
  • no. 128. Que de fois, ô ma vivante musique, quand tu joues  GER ITA
  • no. 129. La satisfaction de la luxure, c'est l'épuisement de l'âme  CZE CZE GER
  • no. 130. Les yeux de ma maîtresse n'ont rien de l'éclat du soleil  ITA
  • no. 131. Telle que tu es, tu es aussi tyrannique que celles 
  • no. 132. J'aime tes yeux, et eux, comme s'ils sympathisaient avec moi 
  • no. 133. Maudit soit le cœur qui fait gémir mon cœur 
  • no. 134. Ainsi, je viens de l'avouer, mon ami t'appartient 
  • no. 135. À d'autres la satiété ! 
  • no. 136. Si ton cœur te gronde de me laisser pénétrer ainsi 
  • no. 137. Ô toi, aveugle fou, Amour, que fais-tu à mes yeux 
  • no. 138. Quand ma bien-aimée me jure qu'elle est faite de pureté 
  • no. 139. Oh ! ne me demande pas d'excuser le mal 
  • no. 140. Sois prudente dans ta cruauté : n'accable pas 
  • no. 141. En vérité, je ne t'aime pas avec mes yeux 
  • no. 142. L'amour est mon péché, et ta vertu profonde est la haine 
  • no. 143. Vois comme la femelle inquiète s'élance pour rattraper 
  • no. 144. J'ai deux amours : l'un, ma consolation ; l'autre, mon désespoir 
  • no. 145. Ces lèvres, que la main même de l'Amour a faites 
  • no. 146. Pauvre âme, centre de ma terre pécheresse  GER
  • no. 147. Mon amour est comme une fièvre toujours altérée  DUT ITA
  • no. 148. Hélas ! comment l'amour m'a-t-il mis en tête ces yeux 
  • no. 149. Peux-tu dire, ô cruelle, que je ne t'aime pas  RUS
  • no. 150. Oh ! de quelle puissance tiens-tu cette faculté toute-puissante 
  • no. 151. L'Amour est trop jeune pour savoir ce que c'est que le remords 
  • no. 152. En t'aimant tu sais que je suis parjure 
  • no. 153. Cupidon, ayant posé près de lui sa torche, s'endormit  RUS
  • no. 154. Le petit dieu d'amour, gisant un jour endormi  POL

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–Emily Ezust, Founder

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